Ingénieur diplômé de l'Ecole Supérieure d'Ingénieurs Léonard de Vinci (ESILV)

Inactive
RNCP4108Niveau NIV7Code Titre ingénieurEnregistrement de droit
Informations clés

Enregistrement

Date de décision d'enregistrement : Non spécifié
Date de fin d'enregistrement : Non spécifié

Publication JO

30 juin 2005

Accessibilité

Nouvelle-Calédonie
Polynésie Française

Historique de certification

Certification antérieure :-
Remplacée par :RNCP25304
Voies d'accès
Formation initiale
Apprentissage
Formation continue
Contrat de pro.
Candidature libre
VAE
Codes et références

Codes NSF

114bModèles mathématiques ; Informatique mathématique326Informatique, traitement de l'information, réseaux de transmission

Codes ROME

M1803Direction des systèmes d'informationH2502Management et ingénierie de productionH1206Management et ingénierie études, recherche et développement industriel
Description de la certification

Activités visées

Description des emplois et activités visés L'Ecole Supérieure d'Ingénieurs Léonard de Vinci a pour objectif de former et certifier des ingénieurs généralistes capables de gérer les aspects organisationnels, économiques, financiers, techniques et humains d'un projet dans le champ d'action d'un ingénieur maîtrisant les principaux apports de la numérisation appliquée à l'ingénierie : développement et utilisation de logiciels dans les domaines de la modélisation mathématique, du calcul scientifique, de l'ingénierie financière, des matériaux, de la mécanique, de l'énergétique, de la production ; informatique et systèmes d'information.

Capacités attestées

Description des compétences évaluées et attestées - Dimension générique propre à l'ensemble des titres d'ingénieur. La certification implique la vérification des qualités suivantes : 1. Aptitude à mobiliser les ressources d'un large champ de sciences fondamentales. 2. Connaissance et compréhension d'un champ scientifique et technique de spécialité. 3. Maîtrise des méthodes et des outils de l'ingénieur : identification et résolution de problèmes, même non familiers et non complètement définis, collecte et interprétation de données, utilisation des outils informatiques, analyse et conception de systèmes complexes, expérimentation. 4. Capacité à s'intégrer dans une organisation, à l'animer et à la faire évoluer : engagement et leadership, management de projets, maîtrise d'ouvrage, communication avec des spécialistes comme avec des non-spécialistes. 5. Prise en compte des enjeux industriels, économiques et professionnels : compétitivité et productivité, innovation, propriété intellectuelle et industrielle, respect des procédures qualité, sécurité. 6. Aptitude à travailler en contexte international : maîtrise d'une ou plusieurs langues étrangères, sûreté, intelligence économique, ouverture culturelle, expérience internationale. 7. Respect des valeurs sociétales : connaissance des relations sociales, environnement et développement durable, éthique. - La dimension spécifique à l'école : Compétences transversales : capacité à gérer les aspects organisationnels, économiques, financiers, humains et techniques d'un projet dans le champ d'action d'un ingénieur numéricien ou informaticien. En complément de ces compétences transversales : différents profils d'ingénieurs sont à distinguer en fonction des approfondissements liés aux choix d'option : * option Calcul scientifique orientée mise en oeuvre numérique et outils informatiques, caractérisée par sa multidisciplinarité articulée autour de trois thèmes principaux : les outils de mathématiques appliquées, quelques exemples de modélisation en mécanique, en électromagnétisme, en écoulements diphasiques, en acoustique, en ondes... et la mise en oeuvre numérique et les outils d'informatique scientifique associés ; * option Génie Informatique orientée informatique de communication, comportant une étude approfondie des outils de base (algorithmique, programmation, bases de données, systèmes d'exploitation, architecture, langages informatiques, interprétation et compilation, interfaces homme-machine, intelligence artificielle, ingénierie du logiciel), des réseaux et un apprentissage des principales applications (systèmes décisionnels d'entreprise, entrepôt de données, 'data mining', commerce électronique, infographie et CAO) ; * option Ingénierie Financière orientée gestion d'actifs et évaluation des risques financiers, comportant quatre grands blocs : finance de marché (concepts et modèles mathématiques des marchés et des produits financiers, évaluation et couverture de produits dérivés, optimisation de portefeuille), outils de base (optimisation, modélisation stochastiques, informatique), cours spécialisés (gestion d'actifs, gestion des risques), projets d'études ; * option Mécanique des systèmes orientée modélisation numérique, comportant mécanique du solide (matériaux, structures, conception optimale, robotique), méthodes numériques en mécanique, mécanique des fluides, thermodynamique, ingénierie intégrée, conception des systèmes mécaniques, dimensionnement, sûreté de fonctionnement, éco-design, gestion de production.

Secteurs d'activité

Secteurs d'activité des jeunes diplômés : Ces professionnels travaillent essentiellement en construction automobile, aéronautique, matériel de transport, banque et assurances, services informatiques (SSII), chez les éditeurs de logiciels, en services ingénierie et études techniques.

Types d'emplois accessibles

Grandes fonctions de l'ingénieur diplômé : Le professionnel exerce les activités suivantes : Ingénieur en R/D, en bureau d'études et de calculs, dans une direction technique, ingénieur développement de logiciels, chef de projet, maintenance des grands progiciels, ingénieur systèmes informatiques, conseil et assistance à la maîtrise d'ouvrage, ingénieur salle de marchés, gestion de fonds, gestion de risques.

Objectifs et contexte

A compléter (Reprise)

Réglementations d'activités

A compléter (Reprise)

Prérequis

Prérequis à l'entrée en formation

A compléter (Reprise)

Textes réglementaires

Décret de création

Article du 29 mars 2005. JO du 28 mai 2005. BO n° 4 du 30 juin 2005

Autres décrets

Article du 29 mars 2005. JO du 28 mai 2005. BO n° 4 du 30 juin 2005